OpenIA a lancé ChatGPT il y a un peu plus de deux mois, et cette nouvelle plateforme est déjà connue de tous. L’intelligence artificielle (IA) étant actuellement l’un des sujets les plus brûlants dans le monde, tout le monde, qu’il s’agisse des techniciens ou des profanes, en prend acte.
Selon Forbes, « Plus de 75 % des consommateurs s’inquiètent de la désinformation générée par l’IA ». Malgré son potentiel extraordinaire et indéniable, cette nouvelle technologie présente aussi de nouveaux risques de cybersécurité. C’est notamment pour cette raison que le Sénat des États-Unis élabore de nouvelles lois pour réglementer spécifiquement l’utilisation de l’IA.
S’adapter aux difficultés que pose l’IA dans la gestion des identités et des accès est crucial. En qualité de professionnels de la sécurité, nous savons que nous ne pouvons pas protéger contre absolument tout. Il y a longtemps de cela, Ping Identity a appris que dès que nous détectons ce que font les acteurs malveillants, ceux-ci trouvent un nouveau moyen de contourner les méthodes de détection. Aujourd’hui, nous commençons à peine à voir comment le machine learning avancé est utilisé pour pénétrer dans des méthodes d’authentification établies.
Même si des difficultés vont surgir, il est évident que la détection et la réponse aux menaces ciblant les identités (ITDR) et l’identité décentralisée (DCI) peuvent être utilisées ensemble pour lutter contre les menaces de sécurité à l’heure de l’intelligence artificielle.